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Résumé :
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L'incipit du livre donne le ton du roman : c'est un texte violent, fort, qui ne fait place à aucun faux-semblant, à aucune hypocrisie. Difficile de savoir qui en est l'auteur avant la page 119, d'imaginer que cette scène décrivant un passage à tabac est un morceau du journal intime de Djamila, que Vincent a ramassé, dans lequel elle exprime ses souffrance de fille ayant subi la violence et l'humiliation d'une tournante. Elle était tombée amoureuse d'un petit caïd qui tirait ses revenus et son prestige des films pornos amateurs qu'il tournait avec les filles et les garçons de la cité, et qu'il revendait à un producteur de cinéma. Quand elle avait refusé, le garçon s'en était trouvé humilié et s'était vengé en la faisant tourner.
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